Gossip Girl : Bourgeoisie désargenté
Série bourgeoise ne rime pas forcement avec nanar, cependant Gossip Girl est le parfait exemple de la série bourgeoise sans intérêt. Sous ses faux air sucré, fraiche et fascinante, la série n’offre rien de plus au genre que les mêmes coups de téléphone de 3 heure à sa meilleur copine ou soirée dans le club le plus tendance du mois. L’ennui se pointe rapidement, les histoires lassent et ne peuvent désespérément pas tenir sur le long terme. J’ai même du mal à croire que Josh Schwart, créateur de l’excellente série, Chuck, soit le géniteur d’un tel désert d’intérêt. Passé les « intrigues » de façade, Gossip Girl laisse place à l’indécence et au vide alors que le coté humain aurait été plaisant, mais non on préfère faire du superficiel, et bien soit, la série excelle bien dans se domaine puisque personne ne la regarde … Navrant.
Eleventh Hour : Heure sombre
Jerry Bruckeimer, producteur prolifique, revient avec Eleventh Hour, ou un X-Files mais centré sur la science en marge avec la réalité. Un pitch pas mal du tout qui rappelle Fringe de J.J. Abrams. Oui mais voila le prolifique producteur livre un produit fade, sans saveur. Des personnages non aboutit, un duo inexpressif avec un Anglais sinistre et une blonde frigide, des décors glauques, des intrigues qui se ressemblent, bref Eleventh Hour est l’archétype de la série nomenclaturé à l’extrême, voulant imiter les codes de tout ce qui marche (CSI pour le coté éprouvette, House pour le personnage masculin anti-héros …) elle ne fait que les caricaturés et au final le temps semble long, l’enjeu dérisoire et identique d’épisode en épisode, l’atmosphère lugubre crée une ambiance malsaine, le tout plombant le show, Eleventh Hour est donc à éviter.
Brothers : Plus jamais ça !
Sitcom black centré sur un ex footballeur de NFL qui revient vivre chez ses parents pour s’occuper de son frère handicapé, Brothers comptait reprendre le flambeau abandonné de série tel que The Cosby show. Trop théâtrale, trop téléphoné, l’humour est absent, le duo ne fonctionne pas et surtout les rires sont enregistrés et se ressemble tous, vous l’aurez compris rien mais alors rien n’est à retenir de ce désastre comique. Pitié, honte ou encore incompréhension nous gagnes, comment la FOX a telle put valider une comédie aussi navrante ? Se qui est sur c’est que du ménage à du être fait après le passage de Brothers. Le point d’orgue, quand à lui, se trouve à la fin de chaque épisodes, moment où le mini bêtisier censé nous faire pleurer de rire nous fait réaliser la stupidité de Brothers et la torture qu’on du endurer les acteurs. Sinistre.
the Best Serie 
delromainzika
20 juin 2010
Je tiens quand même à signer que Josh Shwartz est le papa de certes Chuck mais aussi de l’excellente The OC.